Ma priorité est de redonner de la liberté aux parents et de renforcer l’égalité entre les femmes et les hommes.

Le recours au congé parental s’est effondré depuis la réforme de 2014, passant de 514 000 bénéficiaires en 2013 à 255 000 en 2020. Le montant forfaitaire actuel, de 428 euros par mois au maximum est un frein évident pour de trop nombreuses familles qui ne peuvent pas se passer d’un des deux revenus.

La durée d’indemnisation du congé parental, jusqu’à trois années, présente aussi le risque d’éloigner les parents de l’emploi et en particulier les femmes.

Les pères sont très minoritaires à prendre ce congé : seuls 0,8 % y ont recours !

Dès 2025, nous créons un nouveau droit : le congé de naissance.

Après le congé paternité et le congé maternité, ce sera un nouveau droit pour permettre aux parents, mères et pères, de prendre du temps auprès de leurs nouveaux nés, à temps plein ou à temps partiel, bien mieux indemnisé que le congé parental actuel.

Congé de naissance, service public de la petite enfance, lutte contre l’infertilité, environnement bienveillant pour les familles : c’est un véritable renouveau de nos politiques familiales dont nous avons besoin.