« Quoi qu’il en coûte » : il est de notre responsabilité d’accompagner nos entreprises et donc nos emplois, d’accompagner les indépendants, les auto entrepreneurs, tous ceux dont l’activité est clairement impactée par la crise que nous connaissons.

L’objectif : éviter les faillites et les licenciements afin de permettre un rebond rapide de notre économie après l’épidémie. Le principal enseignement tiré de la crise économique de 2008 repose sur l’importance du maintien de la capacité de nos entreprises à produire.

Le Gouvernement a annoncé :

  • le report des charges fiscales et sociales. Dans les situations les plus difficiles, des annulations de charges pourront être envisagées afin d’éviter la faillite ;
  • la mise en place du chômage partiel, rémunéré par l’État et l’Unedic à hauteur de 100% du salaire net pour les salariés au Smic et de 84% dans la limite de 4,5 smic ;
  • une aide de 1 500 euros par mois aux plus petites entreprises, indépendants et microentreprises les plus touchés par la crise au travers d’un fonds doté d’un milliard d’euros ;
  • la mise en place d’une garantie d’État, pour un montant total de 300 milliards d’euros, aux crédits bancaires contractés entre le 16 mars et le 31 décembre 2020 par les entreprises non financières ;
  • l’appui par le médiateur des entreprises à la résolution des litiges avec les clients et fournisseurs et les établissements bancaires ;
  • l’annulation des pénalités de retard applicables aux marchés publics.

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