Samedi sur les Champs Elysées se clôturait un énième acte de violence et non une manifestation. Ceux qui sont responsables de ces violences sont ceux qui les commettent mais ceux qui continuent à appeler à des rassemblements chaque samedi, ceux qui excusent la violence, la tolèrent ou la légitiment en sont complices. Cela fait des semaines que les revendications sociales ont cédé la place à la violence, aux menaces, aux pillages de magasins, aux destructions.
La loi anti-casseurs, c’est avant tout une loi faite pour protéger la liberté de manifester mais elle permet aussi d’avoir les moyens de lutter contre cette violence inouïe. Notamment avec l’interdiction de dissimulation de visages lors des manifestations et l’interdiction administrative pour des individus de manifester. Ces mesures sont nécessaires aujourd’hui pour que cela cesse !
"Tous ceux qui étaient hier sur les Champs Élysées sont complices. Soit qu'ils aient détruit, vandalisé, pillé eux mêmes, soient qu'ils ne l'aient pas empêché ou ricanent face à des actes inadmissibles."
Sur @BFMTV ma réponse à une membre des #GiletsJaunes qui était à #acte18 pic.twitter.com/NiL4776dMz— Aurore Bergé (@auroreberge) March 17, 2019