Lundi dernier, j’étais l’invitée politique de l’émission « Emois et moi » sur LCP.
Ce fut l’occasion pour moi de revenir sur ce qui a fait et construit mon engagement politique : « les résultats de l’élection présidentielle du 21 avril 2002 ont été un choc pour toute une génération ». C’est le risque de l’extrême-droite au pouvoir qui m’a poussée à m’engager au sein de l’UMP de Jacques Chirac, Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin. En 2002, le mouvement se voulait rassembleur, libéral et profondément européen. Des valeurs qui ne qualifient plus aujourd’hui le parti Les Républicains : ses membres fondateurs l’ont d’ailleurs quitté.
Ces valeurs libérales et européennes qui sont les miennes, je les retrouve aujourd’hui pleinement au sein de La République en Marche ! : c’est ma famille politique, « là où je me sens à ma place ! Nous sommes un mouvement ouvert aussi bien aux personnes qui viennent de la droite que de la gauche ou de nulle part ! C’est une offre politique nouvelle qui n’existait pas avant que nous la construisions ».
Pour conclure, j’ai également tenu à évoquer la violence qui peut aujourd’hui s’exercer sur les réseaux sociaux : « je la subis tous les jours entre les menaces de mort, de viol, les insultes et l’intimidation ». Cette violence n’a rien de normale : « elle ne fait pas « partie du jeu ». On doit refuser de s’y habituer ! ».
