La crise sanitaire n’a mis aucun frein à notre détermination, bien au contraire.

Elle nous indique les priorités à renforcer dans certains domaines, comme l’accès aux soins, la nécessité de davantage agir pour l’adaptation de l’environnement de vie des personnes, la mise en accessibilité de l’information publique, ou encore le besoin de soutenir les aidants.

Elle doit même nous conduire à accélérer notre politique, en veillant à ce qu’elle soit équitablement mise en œuvre sur tout notre territoire.

Le Gouvernement a notamment annoncé :

👉l’extension dès le 1er janvier 2021 du dispositif de la prestation de compensation du handicap afin de couvrir des aides à la parentalité ;
👉la prolongation jusqu’au 30 juin 2021 d’une aide à l’embauche de 4 000 euros pour chaque personne handicapée recrutée ;
👉le développement du recrutement d’apprentis en situation de handicap et notamment dans la fonction publique d’Etat ;
👉un budget de 10 millions d’euros pour permettre à l’ensemble des discours des ministres d’être sous-titrés et traduits en langue des signes ;
👉le déploiement de 45 millions d’euros entre 2021 et 2023 pour financer des aides à la vie partagée qui permettront de favoriser l’habitat inclusif.

Je sais combien ces sujets sont essentiels pour nos concitoyens en situation de handicap et leurs familles qui sont trop souvent confrontées à des difficultés administratives. J’aurais normalement du participer au DuoDay, une journée exceptionnelle qui permet de partager la vie une journée d’une personne en situation de handicap et de lui faire découvrir la mienne : dès que les conditions sanitaires seront réunies, je m’engage à le faire !